There's a pleasing fluidity in this elaborate German filming of the Rossini opera, with hardly a lag in its 141-minute running time, made possible by a very mobile camera operating on a giant set, as well as smooth direction which alternates backdrops to action pauselessly -- afar cry from the usual static on-stage recording or taping of opera.

Ponnelle's film is genial . . .

La caméra, elle, vole littéralement d'un endroit à l'autre, collant merveilleusement à l'intrigue sans laisser le temps au spectateur de s'ennuyer une seule seconde. C'est alors qu'on se rend compte combien la télévision peut être un outil incomparable lorsqu'elle est bien servie . . . La perfection de ce spectacle était parachevée par le concours du chœur et de l'orchestre de la Scala de Milan, sous la direction du très grand chef qu'est Claudio Abbado. Un spectacle qui rendait à l'illustre «Barbier de Séville» son éternelle jeunesse.

. . . un logro memorable del añorado Ponnelle, director escénico de inteligencia y sensibilidad, conocimiento y respeto hoy inencontrables . . . Hermann Prey es un cantante soberbio . . . Berganza era, sin duda, no sólo la mejor Rosina de entonces, sino la primera "moderna" en lo filológico y estilístico; aquí se revela como una actriz muy, muy convincente.